Les substances controversées qui se cachent dans la salle de bains

Les additifs chimiques controversés – parabènes, sulfates, conservateurs synthétiques, PEG ou microparticules plastiques – restent très courants dans les gammes féminines, alors même que la recherche souligne leurs risques (irritations, perturbations endocriniennes, pollution). En Suisse, où les consommatrices se tournent massivement vers la clean beauty, passer à des soins vraiment sûrs passe par la lecture des étiquettes… ou le choix direct de boutiques qui font déjà le tri, comme MYALYS. Ce billet décrypte les dangers, explique la dynamique du marché helvétique et trace un chemin clair vers une routine plus saine.

Pourquoi ces additifs posent problème ?

Parabènes : de plus en plus pointés du doigt

Une méta-analyse parue en 2025 confirme la corrélation entre exposition urinaire aux parabènes et risque accru de cancers hormono-dépendants, rappelant leur capacité à imiter les œstrogènes nature.com. D’autres recherches détaillent leurs interactions avec la thyroxine, soulevant des inquiétudes supplémentaires sciencedirect.com.

Sulfates (SLS/SLES) : la mousse qui agresse

Des tests dermatologiques montrent qu’une exposition répétée à 1 % de SLS durant seulement trois jours suffit à déclencher une dermatite irritative sur peaux sensibles jintegrativederm.org. Même si certaines études nuancent la prédisposition individuelle academic.oup.com, la prudence prévaut.

Phénoxyéthanol : conservateur divisé

Admis jusqu’à 1 % dans l’UE, il reste irritant à forte dose et pose question chez les nourrissons, selon plusieurs revues de sécurité safecosmetics.orgblog.pureance.com.

PEG / PPG : le spectre du 1,4-dioxane

Ces émulsifiants d’origine pétrochimique peuvent être contaminés par le cancérogène potentiel 1,4-dioxane au cours du procédé d’éthoxylation, comme l’a rappelé un profil produit du Department of Toxic Substances Control de Californie dtsc.ca.gov.

Silicones & huiles minérales : l’occlusion et la persistance

Si le diméthicone est jugé globalement sûr, certaines études pointent le caractère non biodégradable de certains cyclométhicones et leur possible bioaccumulationpmc.ncbi.nlm.nih.gov.

Micro-plastiques : un impact environnemental reconnu

Depuis le 17 octobre 2023, l’UE restreint l’ajout intentionnel de microparticules plastiques dans les cosmétiques afin de réduire leur dispersion dans l’environnement trade.ec.europa.eu. La Suisse, bien qu’hors UE, aligne progressivement sa surveillance via l’OFSP.

L’essor de la clean beauty en Suisse

• Le marché suisse des cosmétiques pèserait 5,7 milliards CHF en 2023, avec une prévision de 7,8 milliards CHF d’ici 2031, tirée par la demande de formules naturelles verifiedmarketresearch.com.
• Les études de cabinet confirment que la préférence des consommatrices suisses va vers les ingrédients végétaux et durables, jugés plus sains pour la peau et l’environnement mordorintelligence.com.
• Les analystes prévoient un taux de croissance annuel supérieur à 4 % pour ce segment jusqu’en 2033 sphericalinsights.com, porté par la recherche de transparence et de santé personnelle robeco.com.

Comment décrypter vos étiquettes ?

1. Survolez la fin de la liste INCI : c’est souvent là que se nichent parabènes, EDTA et colorants.
2. Repérez “PEG-x” ou “PPG-x” : indices d’éthoxylation potentielle.
3. Préférez les conservateurs doux : sodium benzoate, potassium sorbate ou ferment lactobacillus.
4. Cherchez les labels : COSMOS, Natrue, Bio.inspecta, qui proscrivent sulfates et silicones controversées.
5. Vérifiez la texture : un gommage à base de sucre ou de poudre de noyaux remplace efficacement les billes plastiques.

MYALYS : la solution suisse, testée et transparente

• Zéro ingrédient controversé : parabènes, sulfates, PEG, silicones non biodégradables et micro-plastiques sont exclus grâce à une grille d’analyse stricte.
• Tests internes : chaque crème, savon ou huile est essayé par l’équipe avant référencement, garantissant confort et efficacité.
• Partenaires engagés :
  • Herbes & Traditions pour les huiles essentielles bio,
  • YOKUU pour les feuilles de lessive probiotiques,
  • Osmobiose pour l’aromathérapie tempéramentale,
    tous sélectionnés pour leur éthique et leur traçabilité.
• Logistique responsable : livraison 24-48 h en Suisse, neutre en carbone, emballages recyclables.

En pratique : faire ses achats sur MYALYS permet de simplifier la chasse aux ingrédients douteux : la boutique fait déjà le tri, vous gardez la sérénité.

Conclusion : reprendre la main sur votre routine beauté

Abandonner les additifs chimiques controversés n’est pas une lubie, c’est un investissement dans votre santé cutanée et dans la planète. Avec la montée de la clean beauty en Suisse et des acteurs exigeants comme MYALYS, il n’a jamais été aussi simple d’adopter une routine sûre, efficace et respectueuse. Faites-vous plaisir sans compromis – votre peau (et l’environnement) vous remercieront.

Prête à franchir le cap ? Profitez de –10 % sur votre première commande MYALYS avec le code HELLOCLEAN.